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    9782355840272
     
     
     
    Quatrième de couverture
     
    "On peut avoir un caractère de chien, un sens de la répartie assassin, mais rester, même malgré soi, un mec bien. Hugh Laurie, formidable interprète du Dr House, a largement su le prouver sur le petit écran, il récidive avec ce thriller palpitant dont le héros, Thomas Lang est un ancien militaire d'élite qui, hormis sa Kawasaki ZZR1100, n'a pas grand chose à perdre. Aussi lorsqu'on lui propose 100000 dollars pour tuer Mr Woolf, un riche homme d'affaire londonien, Thomas ne se contente pas de refuser poliment, mais pousse l'indécence jusqu'à essayer de prévenir la future victime du complot qui se trame contre lui. Une bonne intention? L'enfer en est pavé."
     
     
    Mon avis
     
    En tant que fan absolue de House, et après avoir lu la quatrième prometteuse, j'étais transportée à l'idée de me plonger un peu plus dans l'univers cynique de mon Dr préféré.
    A mon grand regret, le résultat n'était pas à la hauteur de mes espérances.
     
    Certes, j'ai passé un moment agréable, car le cynisme, les répliques acerbes, et l'humour typiquement britannique m'ont fait rire plus d'une fois, mais l'histoire en elle même ne m'a pas convaincue. Je me suis sentie loin du thriller palpitant annoncé, la trame étant franchement tirée par les cheveux.
     
    A noter que la parution originale date de 1996, la sortie française seulement de 2009. Il va sans dire que la notoriété de Hugh Laurie est pour beaucoup dans la publicité faite autour de ce roman, mais il est intéressant de voir que le personnage de House est assez proche de celui de Thomas Lang alors que plusieurs années séparent la création des deux héros.
     
    Je n'ai pas d'avis tranché. Je conseillerais aux fans de Hugh Laurie de tenter ce roman puisqu'on y retrouve quand même ce pour quoi on le connait... Quant aux autres, les réfractaires à l'humour british, sachez que c'est quand même quasiment le ( seul? ) point fort de ce livre.
     
     
     
     
     
     
     
     

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    deux soeurs pour un roi
     
     
    Quatrième de couverture
     
    " Je serai sombre, française, à la mode et difficile; vous serez douce, ouverte, anglaise et belle. Quelle paire nous formerons! Quel homme pourra nous résister? " Tels sont les premiers mots prononcés par Anne Boleyn à l'endroit de sa soeur Marie quand elle la rejoint, en 1522, à la cour d'Angleterre.
     
    Introduite au palais de Westminster, à l'âge de 14 ans, Marie Boleyn séduit le roi Henri VIII auquel elle donnera deux enfants. D'abord éblouie par le souverain, elle comprend qu'elle sert d'appât au milieu des complots dynastiques. Quand l'intérêt du roi pour elle s'émousse, Anne est chargée de le séduire à son tour.
     
    Désir, haine, ambitions, trahisons... Se déroulant sur quinze ans, cette fresque historique, racontée à la première personne par Marie Boleyn, dépeint les rivalités au sein de la dynastie des Tudors. Une histoire qui se terminera dans le sang...
     
     
    Mon avis             
     
    D'Henri VIII et ses femmes, on connaît l'histoire... Mais racontée par Mary Boleyn, elle prend une dimension beaucoup plus intime.
    On est dans les coulisses de la séduction royale, et dans ce domaine la famille Boleyn a deux atouts: deux soeurs sacrifiées sur l'autel de l'ambition.
     
    Tout d'abord Mary, très jeune mariée séparée de son époux pour être jetée dans les bras du Roi lui même époux de Catherine d'Aragon et père d'une petite princesse.
    Dirigée par ses parents et son oncle, elle a pour devoir premier de donner un fils à Henri, à la suite de quoi elle devra le pousser à répudier sa Reine, et se faire épouser afin de légitimer son enfant. Oui mais... le premier enfant est une fille! Il faut donc se remettre très vite à concevoir avant que le souverain s'en aille voir d'autres jupons. Et enfin un fils naît, enlevé à sa mère pour être élevé par d'autres. Mais loin de permettre à Mary de s'installer à la place de la reine, cette séparation va tant la déprimer, qu'elle va se faner et l'amour du roi s'éteindre...
     
    Qu'à celà ne tienne! Deuxième round: Anne. Elle aussi éloignée de son véritable amour, son ressentiment va la pousser à se donner corps et âme, au delà de l'imaginable, au jeu de sa famille.
    Caractérielle mais séductrice dans l'âme, elle ravira la coeur du roi jusqu'à le pousser à renier sa reine et se fera épouser et couronner. Mais elle échouera dans ses tentatives d'enfantement. Ses fausses couches, ajoutées à sa terreur d'être à son tour répudiée, la pousseront à un crime impardonnable: une relation incestueuse avec son frère. L'enfant ainsi conçu, mort-né et preuve difforme de leur péché, leur vaudra la décapitation à tous deux.
     
    Un livre très facile à lire, journal intime d'une époque révolue, où enjeu politique et amour se conjugent pour donner naissance à des destins tragiques.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

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    book_cover_orgueil_et_prejuges_45561_250_400
     
     
     
    Quatrième de couverture
     
    Orgueil et préjugés est le plus connu des six romans de Jane Austen.
    Son histoire, sa question, est en apparence celle d'un mariage: l'héroïne, la vive et ironique Elizabeth Bennett, qui n'est pas riche, aimera-t-elle le héros, le riche et orgueilleux Darcy? Si oui encore, l'épousera-t-elle?
    Drôle, romanesque, le chef-d'oeuvre de Jane Austen reste tout simplement incontournable!
     
     
    Mon avis
     
    J'ai souvent pensé lire cette oeuvre classique de la littérature anglaise, et malheureusement aussi souvent oublié de le faire. C'est maintenant chose faite, et pour mon immense plaisir!
     
    Le récit nous plonge au XIXème siècle, époque à laquelle le seul moyen pour une femme de s'élever dans la société est de contracter un bon mariage. Là est le grand soucis de Mrs Bennett, qui n'a pas moins de cinq filles à marier. L'arrivée d'un voisin très aisé, Mr Bingley, et de son richissime ami , Mr Darcy, va bouleverser les esprits et les coeurs de la famille Bennett.
     
    Une intrigue prenante, un écrit au discours indirect libre, des dialogues au charme délicieusement suranné fait de circonvolutions et de délicatesse, en somme, une lecture fluide et savoureuse.
    Pour parfaire le tableau, je me serais bien vue le lire par une belle journée de printemps, à l'ombre d'un arbre centenaire, sur une herbe verte et tendre, et les pieds arrosé par un cours d'eau pure et rafraîchissante...
     
    A déguster... Que dis-je? A SAVOURER!!!
     
     
    Pour les lecteurs masculins, je doute fort que vous y trouviez du plaisir si vous n'avez pas au moins un demi siècle au compteur... Ceci dit, je serais ravie de faire erreur, alors n'hésitez pas à faire connaissance avec le monde unique de Jane Austen.
     
     

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    9782253120476
     
     
    Quatrième de couverture
     
    Il n'y a plus guère qu'un sénateur ultraconservateur pour s'opposer aux expériences du Dr Lowell, génial inventeur de nouvelles méthodes de clonage. Mais quand sa carrière politique et sa vie sont menacées par une grave maladie, le politicien n'hésite pas à pactiser avec le diable. Et à commettre un sacrilège: l'ADN nécessaire à son traitement devra être celui du Christ, prélevé sur le suaire de Turin...
     
    Un thriller qui mêle religion, politique et technologie pour créer le plus surprenant et le plus effrayant des suspenses.
     
     
    Mon avis
     
    La quatrième de couverture me semblait prometteuse, une sorte de Da Vinci Code à la sauce médicale. Que nenni! Pour ce qui est de la religion, ça ne concerne qu'une petite poignée de chapitres, et encore ce n'est qu'un survol.
    Le sujet de la biotechnologie est par contre intéressant, puisqu'elle semble être l'avenir de la médecine en ce qui concerne les maladies jusqu'à présent inguérissables comme Parkinson dans le récit. On en apprend plus sur le clonage dit reproductif et le clonage dit thérapeutique, ainsi que sur les positions des Etats Unis face à cette avancée médicale.
     
    Voilà à peu près la seule chose que je trouve de positif à ce roman. Je n'ai pas vraiment accroché avec les personnages: le sénateur et le docteur sont tous deux égocentriques, égoïstes et manipulateurs. L'assistante du politicien et la doctoresse sont quant à elles des femmes intelligentes mais qui n'ont pas le cran d'aller à l'encontre des décisions masculines, bien qu'elles pressentent toutes deux la catastrophe à venir.
    Le plus grand point négatif est que la fin est bâclée. Il reste des questions non résolues : que va faire la Mafia par rapport à son investissement perdu et la mort d'un de ses tueurs, que va faire le frère de la doctoresse face à la Mafia, que devient la société de recherche sur le clonage thérapeuthique?..et quelques autres interrogations apparemment insignifiantes pour l'auteur, mais qui laisse un goût d'inachevé pour le lecteur.
     
    En bref, pas de quoi avoir de la peine à le ranger au fond de ma bibliothèque. Mais comme il s'agit du premier roman que je lis de cet auteur, je réserve mon jugement sur l'écrivain ( qui a par ailleurs de bonnes critiques générales ). Je tenterai une autre de ses oeuvres et qui sait, je découvrirai peut être un meilleur récit.
     
     
     
     

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    1044385_3019400
     
     
    Quatrième de couverture
     
    Arthur, chef de guerre génial, a reçu du grand Roi la mission de sauver son royaume et de le protéger contre l'envahisseur saxon.
    Arthur a triomphé de tous les ennemis, les traîtres se sont enfuis, et l'armée vaincue implore sa miséricorde.
    Mais son mariage avec Guenièvre a fait naufrage et les Saxons y voient une possibilité de le détruire.
    Merlin et Nimue rêvent toujours de convoquer les dieux en Grande-Bretagne, et ils possèdent maintenant les Treize Trésors de Bretagne qui obligeront ces dieux à leur obéir.
     
    Suite du Roi de l'hiver et de L'Ennemi de Dieu, Excalibur est une histoire d'amour, de guerre et de loyauté, peuplée de princesses et de bardes, de lanciers et de magiciens. C'est la fin de la grande trilogie dans laquelle Bernard Cornwell nous offre une magnifique version, pleine de bruit, de fureur et de songes, poétique et réaliste à la fois, de la légende arthurienne.
     
     
    Mon avis
     
    Voir Saga du Roi Arthur: Le Roi de l'hiver
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

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