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    anna g
     
     
    Quatrième de couverture
     
    Parce que sa belle-fille est malheureuse, Pierre Dippel, soixante-cinq ans, l'emmène à la campagne. Parce qu'elle ne se nourrit plus, il décide de faire la cuisine. Parce qu'elle n'arrête pas de pleurer, il va chercher du bon vin à la cave. Il s'assoit à côté d'elle et pour la première fois, il parle. De lui. De sa vie. Ou plutôt de ce qu'il n'a pas vécu.
    Cette histoire est donc la confession d'un homme dans une cuisine. Ca n'a l'air de rien et pourtant, comme toujours avec Gavalda, tout est là. Nos doutes, notre ironie et notre tendresse, le tapage de nos souvenirs et "la vie comme elle va".
     
     
    Mon avis
     
    Voilà pourquoi je n'aime pas les nouvelles. 150 pages, c'est bien trop court pour développer toutes les qualités d'une bonne histoire. 
     
    Le récit est une conversation qui dure le temps d'une longue soirée. Ca aurait pu être un bon livre, mais je ne retiendrai que le goût de l'inachevé.
     
    Je ne le déconseille pas particulièrement, mais si vous voulez profiter pleinement du talent de Anna Gavalda, ( parce que du talent elle en a à revendre! ), orientez vous plutôt sur ses deux petits bijoux que sont Ensemble c'est tout et La consolante.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

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  • MA PILE DE LIVRES A LIRE

     

     

    • La couleur des sentiments en 2 tomes, dès qu'ils sortiront en poche

     

    • Millénium :     La Reine dans le palais des courants d'air ( tome 3 )  dès qu'il sortira en poche     

     

    • Le soleil sous la soie

     

    • La malédiction des Templiers

     

    • Lady Susan

     

    • Persuasion

     

    • L'appel de l'ange

     

    • Les Thanatonautes

     

    • La Religion

     

    • Level 26 ( trilogie, parution incomplète )

     

    • Le livre perdu des Sortilèges ( tome 2 non paru )

     

    • Le dernier juré

     

    • Le Portrait de Dorian Gray

     

    • Garde rapprochée

     

    • La Peau de chagrin

     

    • Le passé ne meurt jamais

     

    • La Chute des géants ( trilogie, parution incomplète )

     

    • Le roi des mensonges

     

    • Hunger Games

     

    • Les Spellman se déchaînent

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    au de la du mal
     
     
    Quatrième de couverture
     
    A 10 ans, Thomas Bishop est placé en institut psychiatrique après avoir assassiné sa mère. Il s'en échappe quinze ans plus tard et entame un périple meurtrier particulièrement atroce à travers les Etats-Unis. Très vite, une chasse à l'homme s'organise: la police, la presse et la mafia sont aux trousses de cet assassin hors norme, et remarquablement intelligent, méticuleux et amoral.
    Les destins croisés des protagonistes, en particulier celui d'Adam Kenton, journaliste dangereusement proche du meurtrier, dévoilent un inquiétant jeu de miroir, jusqu'au captivant dénouement.
     
     
    Mon avis
     
    Vous voyez la petite phrase en bas du livre? C'est sensé être une référence digne d'intérêt n'est ce pas? Encore mieux, voici la critique qui se trouve à la fin de la quatrième de couverture: " Cette oeuvre bouleversante et intense, unique en son genre, constitue une des plus fascinantes plongées du roman noir dans les ténèbres de l'âme humaine. Inoubliable. "  Ca donne envie hein? Oui, sauf que... il a été écrit en 1979, alors pour le thriller unique en son genre on repassera. Inoubliable oui, car c'est sûr, je n'oublierai jamais à quel point cette lecture a été un calvaire!
     
    Déjà l'histoire en elle même traîne en longueur bien que les scènes s'enchaînent à un rythme soutenu. On passe d'un lieu à un autre, d'une personne à l'autre, des fois juste le temps de quelques lignes, la plupart du temps sans transition... pour qu'au final l'intrigue avance à peine. Les enquêteurs sont de gros benêts incapables et la mafia est aussi efficace qu'une grand-mère grabataire.
    Et pour couronner le tout, il n'y a quasiment pas de chapitre, les paragraphes se succèdent avec juste un retour à la ligne. On est bringuebalé dans tous les sens jusqu'à l'écoeurement!
     
    Mais je n'aime pas commencer un livre et ne pas aller au bout, et puis on me promettait quand même un dénouement captivant! Oui je sais, je suis naïve aussi... Et sans surprise, la fin est à la hauteur du reste: complètement foireuse. En fait vous n'aurez jamais le fin mot de l'histoire. L'auteur lui même a dû finir par se paumer dans ses théories fumeuses.
     
    Le meilleur conseil que je puisse donner c'est d'éviter ce gros navet. Vous vous épargnerez une perte de temps et d'argent.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

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    le-reseau-corneille-182050
     
     
    Quatrième de couverture
     
    1944. Betty a vingt-neuf ans, elle est officier de l'armée anglaise, l'une des meilleures expertes en matière de sabotage. A l'approche du débarquement allié, elle a pour mission d'anéantir le système de communication allemand en France.
    Après une première tentative catastrophique et coûteuse en vies humaines, Betty va jouer le tout pour le tout en recrutant une brigade unique en son genre: le Réseau Corneille, une équipe de choc. Six femmes à la personnalité hors du commun: l'aristocrate, la taularde, l'ingénue, la travestie... Chacune va apporter sa touche très personnelle au grand sabotage.
     
    Mon avis
     
    J'ai très souvent vu ce livre dans la librairie où j'ai mes habitudes. Je n'avais pourtant jamais envisagé de le lire, déjà à cause de sa couverture qui ne m'attirait pas, et parce que je savais qu'il s'agissait d'un roman d'espionnage, ce qui n'est pas ma tasse de thé. Finalement un jour, n'ayant pas d'autre choix pour assouvir ma soif de lecture, je me suis laissée tenter. Et qu'est ce que j'ai eu raison!
     
    Résistants, collabos, nazis ou juifs, chaque personnage est suivi avec intérêt. Mais la palme revient à  l'équipe de saboteuses, touchantes dans leur désir de vivre, malgré l'ombre de la mort planant sur leurs têtes.
     
    C'est un excellent roman, la guerre moderne et l'espionnage ne sont pourtant pas mes thèmes de prédilection, mais il a pour qualité d'être très axé sur le côté humain et beaucoup moins "documentaire d'ARTE". Vraiment accrocheur, c'est certain que je le relirai un jour.

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    9782253139096-g
     
     
    Quatrième de couverture
     
    L'auteur de l'inoubliable fresque des Piliers de la terre nous emmène ici au coeur de l'Angleterre victorienne.
    En 1866, plusieurs élèves de collège de Windfield sont les témoins d'un accident au cours duquel l'un des leurs trouve la mort. Mais cette noyade est-elle vraiment accidentelle? Ce drame va marquer à jamais les destins d'Edward, riche héritier d'une grande banque, de Hugh, son cousin pauvre et réprouvé, et de Micky Miranda, fils d'un richissime Sud-Américain.
    Autour d'eux, des dizaines d'autres figures évoluent, dans cette société où les affaires de pouvoir et d'argent, de débauche et de famille se mêlent inextricablement derrière une façade de respectabilité...
     
    Mon avis
     
    Autre époque, autres personnages, autre intrigue, mais toujours du Ken Follett en puissance.On se retrouve cette fois ci dans la haute finance londonienne du XIXe siècle.
     
    C'est avec ce titre que j'ai commencé à découvrir l'auteur dans un autre registre que ses sagas médiévales. L'histoire tient la route comme toujours, entre le meurtrier opportuniste, la richissime manipulatrice, le neveu ruiné et la juive sans le sou qui finira par illuminer les hautes sphères de la société, on est en tenu en haleine jusqu'à la fin.
     
    Il y'a des écrivains qui savent passionner le lecteur, et Ken Follet est leur maître. Je n'ai pas encore achevé sa bibliographie mais ça ne saurait tarder et je ne saurais que vous conseiller d'en faire autant.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

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